Photos, câlins de maman et papa, mots d’encouragement… la petite Léa, bientôt 6 ans, a eu droit à de petites attentions le 31 août, jour de la rentrée scolaire à l’école Saint-Eugène à Salaberry-de-Valleyfield.
Nerveuse, Léa aurait préféé commencer plus tard sa 1re année. «Elle est un peu stressée, mentionne sa maman Maude Martel. Pour les parents de Léa, la rentrée en 1re année du primaire s’est préparée dès la fin de la maternelle. Maman est-elle aussi nerveuse que Léa? «Non, maman rassure Léa et go on y va», explique-t-elle.
Patrick Rousseau a également préparé la rentrée de sa petite Léa. «On en a parlé, de l’école, dit-il en s’adressant à sa fille. Ça va bien aller.» «Papa m’a dit qu’il serait là, mais il ne m’a pas dit que papi et mamie seraient là parce qu’il voulait me faire une surprise», ajoute fièrement Léa.
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La famille recomposée de Léa, assise sur son papa, a assisté à sa rentrée scolaire. Mamie et papi attendaient tout près derrière. (Photo:Journal Saint-François – Marie-Josée Bétournay)
Inscriptions à la hausse
Léa a fait sa rentrée aux côtés d’environ 200 élèves de l’école Saint-Eugène et 10 077 élèves des niveaux primaire et secondaire sur le territoire du Centre de services scolaire de la Vallée-des-Tisserands. «Depuis le 30 septembre 2022, nous avons 527 élèves de plus», mentionne le directeur général adjoint à la éussite au sein du Centre de services scolaire, François Robichaud.
La rentrée s’est déroulée avec un corps professoral complet, en ce qui a trait aux classes. «Présentement, il nous reste trois postes à temps complet à combler. Par contre, ils ne touchent pas le service à l’élève dans les classes», précise M. Robichaud. Deux des trois postes devront être occupés par des orthopédagogues. Six contrats à temps partiel sont également vacants.
Classes modulaires et future école à Salaberry-de-Valleyfield
Plusieurs des 16 classes modulaires des écoles Hébert, Saint-Eugène et Montpetit, à Salaberry-de-Valleyfield, ainsi que celles de l’école Saint-Paul / La Nouvelle-École, à Beauharnois, ont accueilli leurs premiers élèves jeudi.
Certaines d’entre elles demeurent libres et pourraient être occupées par des élèves, s’il y avait nécessité «d’ouvrir un nouveau groupe rapidement en début d’année».
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La chauffeuse d’autobus Lise Vallières était fidèle au poste jeudi. (Photo:Journal Saint-François – Marie-Josée Bétournay)
En lien avec la construction de la future école à Salaberry-de-Valleyfield, secteur Grande-Île, le Centre de services scolaire de la Vallée-des-Tisserands analyse les plans terminés avec le ministère de l’Éducation. «Aussitôt que les plans seront acceptés, nous commencerons les appels d’offres. Nous espérons en 2024 avoir notre première pelletée de terre», conclut M. Robichaud.