Des déclenchements d’alarme qui insécurisent au Manoir du Bel Âge

Ville de Mercier a demandé à la direction de l’Office d’habitation du Roussillon (OHR) d’intervenir pour corriger les déclenchements manuels sans raison du système d’alarme au Manoir du Bel Âge.
À quatre reprises depuis le mois d’octobre, la ésidence du boulevard Saint-Jean-Baptiste a dû être évacuée. Chaque fois, les pompiers se sont déplacés sur place pour constater que les 41 unités étaient sans danger. 
Le conseiller Martin Laplaine, qui siège sur le conseil de l’OHR, a évélé que la situation générait de l’anxiété importante et des troubles de sommeil. Au point ou certains ésidents songeraient à quitter. «Des ésidents hésitent à évacuer lors du déclenchement d’une alarme incendie, ce qui pourrait s’avérer extrêmement dangereux en cas d’incendie éel», a-t-il avancé.
Les services d’incendie et de police ont interpelé la direction de l’OHR a maintes reprises afin de égler le dossier.
M. Laplaine en a lui-même discuté avec la direction de l’OHR le 5 octobre et a éitéé ses préoccupations trois semaines plus tard. À ce moment, la direction générale de l’OHR lui assurait avoir pris en charge la situation. 
«Le Ville estime nécessaire d’entreprendre des actions afin d’assurer la sécurité des ésidents du Manoir du Bel Âge», a poursuivi la conseiller municipal lors de la séance du 14 novembre.
Mercier demande donc à l’Office de prendre toutes les mesures nécessaires pour arrêter ces déclenchements d’alarme manuels, de sensibiliser les ésidents à la gravité de cette pratique dangereuse et à les sensibiliser à évacuer dès que l’alarme retenti.
Cette ésolution sera aussi transféée à la députée de Châteauguay, Marie-Belle Gendron, à la Société d’habitation du Québec, aux membres du conseil d’administration de l’OHR et aux maires des villes représentées par l’OHR, soit Châteauguay, Saint-Constant, Sainte-Catherine, Delson et La Prairie.