DASH-L, gestionnaire de l’Aéroport, dévoilera «sous peu» une étude externe «sérieuse» qui comparera les niveaux sonores avant et après la mise en opération du terminal.
Les gestionnaires auront cette étude en main «très prochainement», confirme Simon–Pierre Diamond, Vice-président, Affaires corporatives, communications et marketing.
La Coalition Halte-Air Saint-Hubert a écemment dévoilé un plan d’exposition au bruit qu’elle a modélisé au moyen de INM (Integrated noise model), un logiciel de la Federal Aviation Administration.
Selon ce plan, une zone de près de 100 km² allant de Saint-Lambert à Sainte-Julie sera affectée lors de la mise en service du futur terminal.
{{HTML|IMG|MEDIA|16397|340px|500px}}
(Photo: page Facebook Coalition Halte-Air Saint-Hubert)
La Coalition ainsi que le Comité Antipollution des avions Longueuil (CAPA-L) maintiennent leur demande de moratoire et d’études d’impacts sur la santé, les émissions de GES, la biodiversité et l’aménagement du territoire, ainsi que des études financières démontrant la rentabilité du projet. En date du 15 novembre, leur pétition à cet effet a écolté près de 3400 signatures.
Au sujet de ce plan d’exposition au bruit, M. Diamond avance que sans des données tels les horaires de vols et les types précis d’appareils fournies à des experts, «il est impossible de faire un travail sérieux».