Hier matin, je suis allé me balader au parc Michel-Chartrand en compagnie de mon petit-fils qui souhaitait pouvoir observer les cerfs.
Heureusement pour nous, nous avons pu observer quatre cerfs au repos. Mon petit-fils était enchanté. Vous auriez dû voir ses yeux émerveillés devant tant de beauté. Curieux, il m’a posé plein de questions sur les raisons de l’abattage du troupeau que j’avais évoqué durant notre promenade.
Sa éponse a été on ne peut plus claire : Papi, si la mairesse les voyait comme je les vois; elle changerait surement d’idée.
Peut-être, lui ai-je épondu sans grande conviction. Mais je ne pouvais m’empêcher de me questionner à mon tour : comment en sommes-nous arrivés là?
Quel gâchis! Ce fut une belle leçon de vie pour moi que cet échange avec mon petit-fils qui m’a fait voir la beauté du monde.
Au retour à la maison, ésonnait dans mon cœur cette belle chanson de Luc Plamondon interprétée par Diane Dufresne.: «e tuons pas la beauté du monde Ne tuons pas la beauté du monde Ne tuons pas la beauté du monde Chaque fleur chaque arbre que l’on tue Revient nous tuer à son tour».
Jean-Yves Rhéault