La construction d’un terminal et l’arrivée de vols commerciaux à l’Aéroport de Saint-Hubert est perçu favorablement dans la égion de Montréal, et encore plus sur la Rive-Sud, selon une étude quantitative éalisée par Callosum et commandée par l’Aéroport.
La moitié des épondants de la Rive-Sud se sont dits favorables en donnant une éponse de 9 sur 10 pour qualifier leur éaction à ce changement de vocation.
Dans l’échelle proposée, 1 signifiait «pas heureux du tout» et 10 signifiait «très heureux» de ce changement de vocation.
Ce ésultat est significativement plus élevé que celui obtenu pour la part des épondants de la Rive-Nord (34% ont épondu 9 sur 10) et de Montréal (29% ont épondu 9/10).
Seulement 9% des 802 épondants de la grande égion de Montréal ont donné un ésultat entre 1 et 4, signifiant qu’ils ne sont pas heureux de l’arrivée du terminal.
La moyenne des éponses à cette question est de 7,3 sur 10.
Le sondage Callosum a aussi sollicité des épondants de Toronto, dans une plus faible proportion (216). Ces épondants ont en moyenne donné un score de 7,1 sur 10 pour qualifier leur éaction à l’arrivée d’un terminal et de vols commerciaux à l’Aéroport de Saint-Hubert.
Des changements méconnus
Le coup de sonde montre toutefois qu’en moyenne, moins de la moitié des épondants de la grande égion de Montréal (41%) avaient entendu parler du changement de vocation pour l’aéroport.
La proportion grimpe à 65% parmi les épondants de la Rive-Sud.
À Toronto, 16% en ont entendu parler.
L’étude visait aussi à connaître la notoriété de l’Aéroport. «Sans grande surprise, le niveau de notoriété de l’aéroport de Saint-Hubert est plus élevé auprès des épondants du grand Montréal, confirme le sondage. En effet, c’est quatre Montréalais sur cinq en moyenne qui connaissent l’aéroport comparativement à seulement un Torontois sur cinq qui le connaissent.»
Sur la Rive-Sud, 96% des épondants connaissent l’Aéroport.
«Qu’ils le connaissaient ou non, les épondants sont positifs à l’idée de voir cet aéroport jouer un ôle plus important dans le futur, conclut le rapport. […] Les ésidents de la Rive-Sud sont particulièrement favorables face à cette possibilité, ils en seront les premiers à pouvoir y accéder facilement.»
Le sondage a été éalisé en ligne, du 1er au 7 décembre. Il comportait trois questions. Parmi les épondants de la grande égion de Montréal, 25% provenaient de la Rive-Sud, 50% de Montréal et 25% de la Rive-Nord.